Ed Carter ne voulait avoir que 21,000 $ grâce à Kickstarter pour financer une édition de luxe de « Glory to Rome »
Après cela, les choses ont commencé à se compliquer pour Carter. Sa campagne Kickstarter avait promis aux donateurs qu’ils auraient la livraison gratuite sur les jeux s’ils acceptaient de choisir des jeux chez certains détaillants. Carter espérait ainsi développer des partenariats avec ces revendeurs tout en encourageant ses partisans à acheter. Cependant, l’expédition du jeu pour 1600 personnes n’est pas vraiment bon marché, surtout quand vous avez reçu un nombre important de commandes en provenance du Brésil et de l’Australie.
Mais cela ne s’arrête pas là. Carter, un ancien consultant en marketing, avait également travaillé en Chine, et a donc pensé qu’il pouvait faire des affaires directement avec les producteurs chinois. Cependant, dans un coup du sort, son responsable des opérations qui parle chinois a quitté ll’ffaire, et sa relation avec une femme chinoise a pris fin. Il s’est ainsi retrouvé seul, avec personne capable de parler le chinois.
Toutes les erreurs et les incidents ont commencé à s’accumuler : Carter a finalement perdu plus de 100.000 $ de ses économies personnelles. Il a également perdu son emploi à Staples, où il travaillait comme entrepreneur. En fin de compte, Carter ne pouvait pas payer l’hypothèque sur la maison qu’il possédait à Boston, et il a fini par perdre la maison.
