Fin Mai, Facebook avait annoncé qu’il allait faire un effort pour identifier et éliminer les discours haineux
« Notre objectif est de maintenir la liberté de partager sur Facebook mais également de protéger les gens et les marques de certains contenus », explique le communiqué. Parmi le million d’annonceurs sur le réseau, certains n’apprécient donc pas de se retrouver sur une page proposant des vidéos violentes.
En mai, le fabricant de voitures Nissan avait ainsi suspendu une campagne sur le réseau social.
« Ce processus sera d’abord manuel, précise Facebook sur son blog. Mais dans les prochaines semaines, nous établirons un système plus perfectionné et automatisé afin d’empêcher l’apparition d’une publicité à côté d’un contenu controversé. »